La conversion, c'est pas bon
Abdul Rahman, un Afghan à Kaboul, s'est converti au Christianisme il y a 15 ans. Il vient d'être dénoncé par sa famille. Ayant abandonné l'islam, il s'est retrouvé accusé, emprisonné, et risque la peine de mort. Malgré les pressions internationales, le juge ne veut pas entendre parler de quoi que ce soit et s'apprête donc à condamner à mort le converti.
La nouvelle constitution Afghane négociée en 2004 avec les US est un mélange ubuesque et construit sur des contradictions centrales entre des principes démocratiques et la loi islamique. Un passage de cette constitution dit que la liberté religieuse est reconnue, mais la Loi suprême est islamique, et les tribunaux sont là pour exécuter la charriah.
Allez, encore un petit effort, et on recommencera à couper des mains aux voleurs de fruits.
La nouvelle constitution Afghane négociée en 2004 avec les US est un mélange ubuesque et construit sur des contradictions centrales entre des principes démocratiques et la loi islamique. Un passage de cette constitution dit que la liberté religieuse est reconnue, mais la Loi suprême est islamique, et les tribunaux sont là pour exécuter la charriah.
Allez, encore un petit effort, et on recommencera à couper des mains aux voleurs de fruits.
<< Home