Sarko-gros-mots
Dans un livre à paraître la semaine prochaine chez Fayard, Azouz Begag, Ministre démissionnaire, relate ses relations exécrables avec Sarkozy après la crise des banlieues.
Ecoutons-le (extraits relatés dans Marianne, et repris par Libération aujourd'hui) :
Au téléphone, Sarkozy «me passe un savon tellement incroyable que je ne peux m’empêcher de le consigner sur le champ», relate Begag, avant de citer l’ex-ministre de l’Intérieur: «Tu es un connard, un déloyal, un salaud! Je vais te casser la gueule».
«Le ministre de l’Intérieur m’a conseillé, dans une ultime menace, de ne jamais plus lui serrer la main à l’avenir, sinon il allait m’en cuire», ajoute l’ex-ministre. Selon Marianne, Begag a fait l’objet de pressions pour qu’il retarde la parution de son livre, mais a finalement décidé «de passer outre».
Voilà le genre de type qu'on va se cogner comme président de la République française. Un fachiste moderne, une petite frappe qui tient son monde sous un régime autoritaire et qui emploie la menace à tout bout de champ.
Encore une fois, comme le disent nos voisins Anglais et Allemands, la France ne mérite quand même pas ça. Et pourtant, si les gens ne s'enlèvent pas la merde qu'ils ont dans les yeux, on va y avoir droit.
Ecoutons-le (extraits relatés dans Marianne, et repris par Libération aujourd'hui) :
Au téléphone, Sarkozy «me passe un savon tellement incroyable que je ne peux m’empêcher de le consigner sur le champ», relate Begag, avant de citer l’ex-ministre de l’Intérieur: «Tu es un connard, un déloyal, un salaud! Je vais te casser la gueule».
«Le ministre de l’Intérieur m’a conseillé, dans une ultime menace, de ne jamais plus lui serrer la main à l’avenir, sinon il allait m’en cuire», ajoute l’ex-ministre. Selon Marianne, Begag a fait l’objet de pressions pour qu’il retarde la parution de son livre, mais a finalement décidé «de passer outre».
Voilà le genre de type qu'on va se cogner comme président de la République française. Un fachiste moderne, une petite frappe qui tient son monde sous un régime autoritaire et qui emploie la menace à tout bout de champ.
Encore une fois, comme le disent nos voisins Anglais et Allemands, la France ne mérite quand même pas ça. Et pourtant, si les gens ne s'enlèvent pas la merde qu'ils ont dans les yeux, on va y avoir droit.
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