Et si on parlait bilans ?
L’heure est maintenant venue de la confrontation finale, affiner les grandes déclarations programmatiques, faire des petits mouvements tactiques, et des promesses électorales diverses et variées destinées à prendre pied dans la moindre niche d’électeurs à convaincre. L’heure de la démagogie aussi.
Le problème, toujours, c’est que les promesses, les programmes... N’engagent généralement que ceux qui les écoutent. Sous l’ère Chirac, ce fut même le dogme central de gouvernement, et l’on finit par croire que tous les bords politiques raisonnent de la même manière. Est-ce vrai ?
Une bonne manière de jauger le biniou, c’est quand même de regarder ce que chaque camp a vraiment fait. Le bilan. Pourquoi ne parle-t-on pas des vrais bilans ? Ah, c’est vrai, le marketing politique valorise davantage le positif, la promesse d’un monde meilleur, qu’un regard objectif sur le passé pas forcément jouasse. Ca m’agace un peu. Les vrais bilans eux ne mentent pas, même si les arguties idéologiques génèrent des contestations quand à leur interprétatio. Mais les bilans nous révèlent quand même des choses. Beaucoup de choses.
Alors, je vous propose de lire cet article de Jacques Généreux, économiste, professeur à Sciences Po, sur Agoravox : article
Le vrai bilan gauche-droite, Jospin contre les Premiers Ministres de droite qui lui ont succédé. En matière économique et sociale, y’a tout simplement pas photo. Qui de la droite et de la gauche sont meilleurs gestionnaires en France ? Pas ceux qui se croient seuls légitimes dans le type d’économie qui nous gouverne. C’est tout le contraire. Etrange paradoxe, ou bien révélation d’une mystification des masses ?
Le problème, toujours, c’est que les promesses, les programmes... N’engagent généralement que ceux qui les écoutent. Sous l’ère Chirac, ce fut même le dogme central de gouvernement, et l’on finit par croire que tous les bords politiques raisonnent de la même manière. Est-ce vrai ?
Une bonne manière de jauger le biniou, c’est quand même de regarder ce que chaque camp a vraiment fait. Le bilan. Pourquoi ne parle-t-on pas des vrais bilans ? Ah, c’est vrai, le marketing politique valorise davantage le positif, la promesse d’un monde meilleur, qu’un regard objectif sur le passé pas forcément jouasse. Ca m’agace un peu. Les vrais bilans eux ne mentent pas, même si les arguties idéologiques génèrent des contestations quand à leur interprétatio. Mais les bilans nous révèlent quand même des choses. Beaucoup de choses.
Alors, je vous propose de lire cet article de Jacques Généreux, économiste, professeur à Sciences Po, sur Agoravox : article
Le vrai bilan gauche-droite, Jospin contre les Premiers Ministres de droite qui lui ont succédé. En matière économique et sociale, y’a tout simplement pas photo. Qui de la droite et de la gauche sont meilleurs gestionnaires en France ? Pas ceux qui se croient seuls légitimes dans le type d’économie qui nous gouverne. C’est tout le contraire. Etrange paradoxe, ou bien révélation d’une mystification des masses ?